Egon
Elise était sans aucun doute une des plus belle femme du monde, tous les hommes qui la rencontrait en tombaient amoureux quasi instantanément.
Brune, elle avait des yeux noisettes, de longs cheveux bruns, une peau dorée, ajoutez à cela un postérieur parfait, de longues jambes et un sourire énigmatique et vous aviez devant vous une des créatures les plus puissantes sur terre.
Elle avait bien entendu épousé un homme trop riche et menait une vie d'oisiveté.
Seule ombre au tableau, Elise était complétement idiote. Sa mère qui était prévoyante lui avais inculqué une éducation qui lui avait rendu bien des services. Elle consistait principalement à se taire en toute occasion, à en dire le moins possible, en gros à fermer sa bouche.
"Elise, viens par ici ma Chérie."
Sans un mot Elise se dirigea vers le patio, au passage de la porte fenêtre, le soleil envelloppa sa plastique irréelle.
"A te voila enfin!" dit Bery.
"Pour le barbecue tu aimerais du boeuf ou du pois...";
l'animal aquatique ne réussit pas à se frayer un passage dans la gorge du mari d'Elise et seuls quelques borborygmes en sortirent, quelque chose du genre : "Goooohouarrrrrrrrhhhhhhhblubluuuuuu!", puis le bon Bery tomba en avant, un sourire dément aux lèvres.
Elise vit son oeil bleu briller une dernière fois, puis ce fut tout.
Le temps avait suspendu son vol et un grand silence resonna sur la terrasse des Fart puis tout doucement un ruisseau de sang se fraya un passage sur les joints du carrelage.
Egon restait immobile, le marteau de charpentier qu'il tenait dans sa main droite brillait comme un bijou.
"J'aurais du viser l'oreille" dit il.
Puis il tourna les talons et se dirigea vers le garage.
Brune, elle avait des yeux noisettes, de longs cheveux bruns, une peau dorée, ajoutez à cela un postérieur parfait, de longues jambes et un sourire énigmatique et vous aviez devant vous une des créatures les plus puissantes sur terre.
Elle avait bien entendu épousé un homme trop riche et menait une vie d'oisiveté.
Seule ombre au tableau, Elise était complétement idiote. Sa mère qui était prévoyante lui avais inculqué une éducation qui lui avait rendu bien des services. Elle consistait principalement à se taire en toute occasion, à en dire le moins possible, en gros à fermer sa bouche.
"Elise, viens par ici ma Chérie."
Sans un mot Elise se dirigea vers le patio, au passage de la porte fenêtre, le soleil envelloppa sa plastique irréelle.
"A te voila enfin!" dit Bery.
"Pour le barbecue tu aimerais du boeuf ou du pois...";
l'animal aquatique ne réussit pas à se frayer un passage dans la gorge du mari d'Elise et seuls quelques borborygmes en sortirent, quelque chose du genre : "Goooohouarrrrrrrrhhhhhhhblubluuuuuu!", puis le bon Bery tomba en avant, un sourire dément aux lèvres.
Elise vit son oeil bleu briller une dernière fois, puis ce fut tout.
Le temps avait suspendu son vol et un grand silence resonna sur la terrasse des Fart puis tout doucement un ruisseau de sang se fraya un passage sur les joints du carrelage.
Egon restait immobile, le marteau de charpentier qu'il tenait dans sa main droite brillait comme un bijou.
"J'aurais du viser l'oreille" dit il.
Puis il tourna les talons et se dirigea vers le garage.